xavier

Nous avons organisé notre mariage au chais du buttay, 44 ce 9 novembre 2019

Lorsque nous avions visité les lieux, et au cours de nos discussions, à aucun moment le propriétaire ne nous a indiqué qu’il souhaitait que nous coupions la musique à 2h30 du matin.

Nous avions visité les lieux pour vérifier la qualité de la salle et la présence du voisinage, pratiquement nul.

Ce Samedi, les prises de courant se sont coupées à 2h00 du matin, alors que la fête battait son plein, après 1h30 de musique qui avait démarré, comme dans beaucoup de mariage, vers Minuit et demi, après le repas.

Après avoir cherché à comprendre ce qui se passait, nous  avons appelé le propriétaire, et avons découvert qu’il avait installé une horloge, qui en son absence, avait coupé les prises pour couper le son.

Il nous a aindiqué que le fait que cela coupe aussi tôt venait d’une erreur d’horaire et provenait d’un « oubli » de décalage de l’heure d’été.

Une fois la fête terminée, j’ai eu plus à cœur de consoler les pleurs de la mariée que d’exiger qu’il revienne ½ heure plus tard pour remettre le courant dans une salle totalement refroidie.

Le DJ m’ a indiqué qu’en 35 ans de carrière, il n’avait jamais vu cela.

Après analyse documentaire, je dois reconnaitre que son contrat est très clair et qu’il mentionne bien qu’il procédait de la sorte.

Mais je me pose plusieurs questions

pourquoi créer une salle qu’on loue pour des mariages et y installer un système aussi brutal de coupure de courant ?

Pourquoi vouloir couper toutes les prises alors que nous sommes en pleine campagne et que les voisins sont à des centaines de mètres ?

Quelle légèreté, sachant cela, d’« oublier » le changement d’heure et de ruiner la fete un mariage?

Bien sûr, le contrat est très clair sur les 2h30, et si nous allions en justice, on nous dirait que le trouble de jouissance n’a été que d’1/2 heure. Bien sûr.

Sauf que, dans une soirée de ce type, 1/2 heure, c’est énorme.

Pour finir sur  terrain commercial, le propriétaire n’a voulu entendre parler d’aucune compensation. Ce qui a décuplé notre colère.